| Titre : |
Couleurs premières : une utopie moderniste de Theo van Doesburg, Jean Arp et Sophie Taeuber-Arp |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
L'Aubette 1928, Auteur ; Camille Giertler, Secrétaire ; Élisabeth Shimells, Secrétaire |
| Editeur : |
Strasbourg : Musées de la Ville de Strasbourg |
| Année de publication : |
DL 2016 |
| Collection : |
Le Cabinet de l'amateur, ISSN 2431-6407 num. 14 |
| Importance : |
1 vol. (non paginé [8] p.-[14] p. de pl.) |
| Présentation : |
ill. en coul. |
| Format : |
35 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-35125-144-7 |
| Prix : |
9 EUR |
| Langues : |
Français (fre) |
| Index. décimale : |
ARC architecture |
| Résumé : |
Quand, à la fin des années 1920, trois artistes de l’avant-garde, figures de proue des mouvements De Stijl et dada, se mêlent d’aménager un complexe de loisirs sur trois étages, avec restaurant, billard et cinéma, ils ne sont pas avares d’utopies : le public circulera librement dans des espaces qu’un usage totalement nouveau de la couleur aura animés et déconstruits. Près d’un siècle plus tard, l’histoire a fait son œuvre, mais l’utopie n’a rien perdu de son éclat. |
Couleurs premières : une utopie moderniste de Theo van Doesburg, Jean Arp et Sophie Taeuber-Arp [texte imprimé] / L'Aubette 1928, Auteur ; Camille Giertler, Secrétaire ; Élisabeth Shimells, Secrétaire . - Strasbourg : Musées de la Ville de Strasbourg, DL 2016 . - 1 vol. (non paginé [8] p.-[14] p. de pl.) : ill. en coul. ; 35 cm. - ( Le Cabinet de l'amateur, ISSN 2431-6407; 14) . ISBN : 978-2-35125-144-7 : 9 EUR Langues : Français ( fre)
| Index. décimale : |
ARC architecture |
| Résumé : |
Quand, à la fin des années 1920, trois artistes de l’avant-garde, figures de proue des mouvements De Stijl et dada, se mêlent d’aménager un complexe de loisirs sur trois étages, avec restaurant, billard et cinéma, ils ne sont pas avares d’utopies : le public circulera librement dans des espaces qu’un usage totalement nouveau de la couleur aura animés et déconstruits. Près d’un siècle plus tard, l’histoire a fait son œuvre, mais l’utopie n’a rien perdu de son éclat. |
|  |