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Éditeur Champ Vallon
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Titre : Éloge de la simulation : De la vie des langages à la synthèse des images Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Quéau, Auteur Editeur : Seyssel : Champ Vallon Année de publication : 1986 Collection : Collection Milieux, ISSN 0291-7157 Importance : 257 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-903528-67-5 Prix : 130 F Langues : Français (fre) Index. décimale : COM THE théorie de la communication Résumé : La simulation est un nouvel outil d'écriture : elle fonde d'autres raisons, d'autres visions ; elle ouvre de nouveaux territoires à la création et à la connaissance. Nous étions habitués à trouver dans les langues naturelles un inépuisable réservoir de formes et d'images.
Et pourtant nous mesurons chaque jour les limites de la langue, ses impuissances, et ses faux-semblants. Comme solution partielle, on propose dans cet essai de considérer les mathématiques comme un art de la manipulation symbolique. Avec l'aide infatigable des calculateurs numériques et, bientôt, symboliques, elles nous fournissent des métaphores inédites, inénarrables, indicibles, en faisant proliférer des " êtres mathématiques " doués d'une autonomie, d'une " vitalité " propres (attracteurs étranges, structures dissipatives, hiérarchies enchevêtrées, dynamiques chaotiques...).
L'intense productivité des calculateurs permet même de simuler des " êtres " non élucidés mathématiquement comme les fonctions " semi-calculables " ou les automates infinis de Church. Fuyant les cercles morts de la tautologie, les mathématiques conquièrent le flou, l'incertain, l'approximatif, mais aussi le " biologique ", le " vivant ", l'" autonome ". Loin d'être confinés dans le ghetto des spécialités, ces systèmes symboliques fraient des pistes nouvelles et sensibles, comme les images de synthèse... Ces images " numériques " sont entièrement saisies par le langage - informatique ou logico-mathématique.
Dès lors, elles peuvent disposer de l'arsenal des " modèles " déjà évoqués. Aussi assistons-nous à la genèse d'un art roboratif, fait d'images fluides, vivaces ou rêveuses, mues par les secrets enlacements des algorithmes diserts.Éloge de la simulation : De la vie des langages à la synthèse des images [texte imprimé] / Philippe Quéau, Auteur . - Seyssel : Champ Vallon, 1986 . - 257 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Collection Milieux, ISSN 0291-7157) .
ISBN : 2-903528-67-5 : 130 F
Langues : Français (fre)
Index. décimale : COM THE théorie de la communication Résumé : La simulation est un nouvel outil d'écriture : elle fonde d'autres raisons, d'autres visions ; elle ouvre de nouveaux territoires à la création et à la connaissance. Nous étions habitués à trouver dans les langues naturelles un inépuisable réservoir de formes et d'images.
Et pourtant nous mesurons chaque jour les limites de la langue, ses impuissances, et ses faux-semblants. Comme solution partielle, on propose dans cet essai de considérer les mathématiques comme un art de la manipulation symbolique. Avec l'aide infatigable des calculateurs numériques et, bientôt, symboliques, elles nous fournissent des métaphores inédites, inénarrables, indicibles, en faisant proliférer des " êtres mathématiques " doués d'une autonomie, d'une " vitalité " propres (attracteurs étranges, structures dissipatives, hiérarchies enchevêtrées, dynamiques chaotiques...).
L'intense productivité des calculateurs permet même de simuler des " êtres " non élucidés mathématiquement comme les fonctions " semi-calculables " ou les automates infinis de Church. Fuyant les cercles morts de la tautologie, les mathématiques conquièrent le flou, l'incertain, l'approximatif, mais aussi le " biologique ", le " vivant ", l'" autonome ". Loin d'être confinés dans le ghetto des spécialités, ces systèmes symboliques fraient des pistes nouvelles et sensibles, comme les images de synthèse... Ces images " numériques " sont entièrement saisies par le langage - informatique ou logico-mathématique.
Dès lors, elles peuvent disposer de l'arsenal des " modèles " déjà évoqués. Aussi assistons-nous à la genèse d'un art roboratif, fait d'images fluides, vivaces ou rêveuses, mues par les secrets enlacements des algorithmes diserts.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01357 COM THE QUE Livre Bibliothèque de l'EESI Théorie de la Communication Disponible
Titre : Formes, figures, réalité Type de document : texte imprimé Auteurs : Gérard Chazal, Auteur Editeur : Seyssel : Champ Vallon Année de publication : 1997 Collection : Collection Milieux, ISSN 0291-7157 Importance : 247 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-87673-245-9 Note générale : Bibliogr. p. 243-247 Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le concept de forme, qui hanta la philosophie antique, a été au cours du temps bien oublié, victime d'une science triomphante fondée sur l'usage restreint de la cause efficiente, mécanique et mathématisée.
La forme fut longtemps victime des succès d'une physique algébrisée où le calcul s'était substitué à la représentation géométrique. Pourtant, c'est par les mathématiques et les sciences que la forme revient aujourd'hui comme concept opératoire et explicatif, dans l'étude des systèmes dynamiques ou dans celle de l'embryogenèse, par exemple. En témoignent de nombreux travaux dont ceux, particulièrement significatifs, de René Thom.
Bien sûr, nous ne sommes plus en présence de l'antique cause formelle d'Aristote et de ses avatars scolastiques. La rigueur mathématique et les développements des sciences et techniques l'ont considérablement transformée. Il s'agit donc ici de retrouver la notion de forme comme schème explicatif, si ce n'est universel, tout du moins transversal à de nombreux domaines, des sciences aux arts, des techniques les plus primitives aux plus modernes. Face au savoir en miettes, le savant étant de plus en plus enfermé dans sa spécialité, le rôle de la philosophie est bien d'articuler ce qui se donne de manière séparée.
La philosophie est, par une sorte de nécessité, le lieu où tout se croise. Ni art ni science, elle est l'intersection des deux, le point de fuite qu'il faut donner aux savoirs éparpillés. La forme et l'espace peuvent-ils féconder la pensée et fournir ce fond ontologique que réclament le développement des connaissances et notre emprise sur le monde ? Telle est donc la question que ce travail veut aborder.Formes, figures, réalité [texte imprimé] / Gérard Chazal, Auteur . - Seyssel : Champ Vallon, 1997 . - 247 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Collection Milieux, ISSN 0291-7157) .
ISBN : 2-87673-245-9
Bibliogr. p. 243-247
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le concept de forme, qui hanta la philosophie antique, a été au cours du temps bien oublié, victime d'une science triomphante fondée sur l'usage restreint de la cause efficiente, mécanique et mathématisée.
La forme fut longtemps victime des succès d'une physique algébrisée où le calcul s'était substitué à la représentation géométrique. Pourtant, c'est par les mathématiques et les sciences que la forme revient aujourd'hui comme concept opératoire et explicatif, dans l'étude des systèmes dynamiques ou dans celle de l'embryogenèse, par exemple. En témoignent de nombreux travaux dont ceux, particulièrement significatifs, de René Thom.
Bien sûr, nous ne sommes plus en présence de l'antique cause formelle d'Aristote et de ses avatars scolastiques. La rigueur mathématique et les développements des sciences et techniques l'ont considérablement transformée. Il s'agit donc ici de retrouver la notion de forme comme schème explicatif, si ce n'est universel, tout du moins transversal à de nombreux domaines, des sciences aux arts, des techniques les plus primitives aux plus modernes. Face au savoir en miettes, le savant étant de plus en plus enfermé dans sa spécialité, le rôle de la philosophie est bien d'articuler ce qui se donne de manière séparée.
La philosophie est, par une sorte de nécessité, le lieu où tout se croise. Ni art ni science, elle est l'intersection des deux, le point de fuite qu'il faut donner aux savoirs éparpillés. La forme et l'espace peuvent-ils féconder la pensée et fournir ce fond ontologique que réclament le développement des connaissances et notre emprise sur le monde ? Telle est donc la question que ce travail veut aborder.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00841 PHI CHA Livre Bibliothèque de l'EESI Philosophie Disponible
Titre : Metaxu : théorie de l'art intermédiaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Quéau, Auteur Editeur : Seyssel : Champ Vallon Année de publication : 1989 Collection : Collection Milieux, ISSN 0291-7157 Importance : 337 p. Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-87673-056-1 Prix : 174 F Langues : Français (fre) Index. décimale : COM THE théorie de la communication Metaxu : théorie de l'art intermédiaire [texte imprimé] / Philippe Quéau, Auteur . - Seyssel : Champ Vallon, 1989 . - 337 p. : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Collection Milieux, ISSN 0291-7157) .
ISBN : 2-87673-056-1 : 174 F
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Index. décimale : COM THE théorie de la communication Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01356 COM THE QUE Livre Bibliothèque de l'EESI Théorie de la Communication Disponible
Titre : Philosophies et pratiques du détail : Hegel, Ingres, Sade et quelques autres Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Mourey (1948-....), Auteur Editeur : Seyssel : Champ Vallon Année de publication : 1996 Collection : Collection Milieux, ISSN 0291-7157 Importance : 168 p.-[16] p. de pl. Présentation : ill. en noir Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-87673-222-X Langues : Français (fre) Mots-clés : Détail Hegel Ingres Sade Désir D. Fernandez Jorge Luis Borges Georges Perec André Kertesz G. Genette M. Milner Alain Robbe-Grillet Estes Canaletto Hans Vermeer Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : Représenter ou non les poils et les rides dans une sculpture.
Etirer un cou, renfler exagérément un sein. Saisir le vol d'un oiseau... La sculpture grecque, selon Hegel, s'interdit les détails superflus ou bestiaux. Ingres déforme le corps de ses odalisques. Kertész choisit la position d'un pigeon plutôt que l'ordre des monuments pour déclencher sa photographie de la ville. Chaque représentation des corps, des lieux implique une pratique du détail. Tantôt celle-ci respecte la totalité de son objet, tantôt elle le distord, le fractionne.
Il est possible de distinguer différentes pratiques et différents types de détail. L'Esthétique de Hegel et d'autres discours sur l'art se méfient du détail, de sa prolifération. L'érotique d'Ingres étire les doigts, les cous, gonfle les seins. Les libertins de Sade se polarisent sur une parcelle de chair. Les détails que choisissent Borges, Perec dans leurs récits résument leur vision du monde. Le détail est sans doute lié à une esthétique, un système descriptif.
En un sens, les stratégies descriptives sont influencées par l'ordre visuel, les appareils optiques du temps. Fernand Léger fait l'éloge du cinéma qui lui a appris à voir en gros plan une chaussure, une narine. Cependant les détails, leur découpe et ordonnancement ne sont pas seulement le produit d'appareillages optiques explicites ou implicites dans l'œuvre littéraire, picturale. Ils sont liés à une logique de l'écriture. Détails, fragments, points révèlent et condensent parfois la logique de l'œuvre.
Ils en sont alors le rejet et le monogramme.Note de contenu : Police du détail et dialectique de l'esprit selon Hegel
Le corps détaillé : Ingres ou Sade
Des moindres choses : périphéries et aléas
Questions d'optique : détail et monogrammePhilosophies et pratiques du détail : Hegel, Ingres, Sade et quelques autres [texte imprimé] / Jean-Pierre Mourey (1948-....), Auteur . - Seyssel : Champ Vallon, 1996 . - 168 p.-[16] p. de pl. : ill. en noir ; 21 cm. - (Collection Milieux, ISSN 0291-7157) .
ISBN : 2-87673-222-X
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Détail Hegel Ingres Sade Désir D. Fernandez Jorge Luis Borges Georges Perec André Kertesz G. Genette M. Milner Alain Robbe-Grillet Estes Canaletto Hans Vermeer Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : Représenter ou non les poils et les rides dans une sculpture.
Etirer un cou, renfler exagérément un sein. Saisir le vol d'un oiseau... La sculpture grecque, selon Hegel, s'interdit les détails superflus ou bestiaux. Ingres déforme le corps de ses odalisques. Kertész choisit la position d'un pigeon plutôt que l'ordre des monuments pour déclencher sa photographie de la ville. Chaque représentation des corps, des lieux implique une pratique du détail. Tantôt celle-ci respecte la totalité de son objet, tantôt elle le distord, le fractionne.
Il est possible de distinguer différentes pratiques et différents types de détail. L'Esthétique de Hegel et d'autres discours sur l'art se méfient du détail, de sa prolifération. L'érotique d'Ingres étire les doigts, les cous, gonfle les seins. Les libertins de Sade se polarisent sur une parcelle de chair. Les détails que choisissent Borges, Perec dans leurs récits résument leur vision du monde. Le détail est sans doute lié à une esthétique, un système descriptif.
En un sens, les stratégies descriptives sont influencées par l'ordre visuel, les appareils optiques du temps. Fernand Léger fait l'éloge du cinéma qui lui a appris à voir en gros plan une chaussure, une narine. Cependant les détails, leur découpe et ordonnancement ne sont pas seulement le produit d'appareillages optiques explicites ou implicites dans l'œuvre littéraire, picturale. Ils sont liés à une logique de l'écriture. Détails, fragments, points révèlent et condensent parfois la logique de l'œuvre.
Ils en sont alors le rejet et le monogramme.Note de contenu : Police du détail et dialectique de l'esprit selon Hegel
Le corps détaillé : Ingres ou Sade
Des moindres choses : périphéries et aléas
Questions d'optique : détail et monogrammeRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00278 HIST THE MOU Livre Bibliothèque de l'EESI Histoire et Théorie de l'Art Disponible
Titre : Théorie générale et logique des automates : le mécanisme algorithmique de John Von Neumann Autre titre : Précédé de La pensée et les machines Type de document : texte imprimé Auteurs : John Von Neumann (1903-1957), Auteur ; Gérard Chazal, Auteur ; Jean-Paul Auffrand, Traducteur Editeur : Seyssel : Champ Vallon Année de publication : 1996 Importance : 104 p. Présentation : ill., couv. ill. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-87673-232-2 Prix : 98 F Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Index. décimale : SCI sciences Résumé : Entre prouesses mécaniques et mythe littéraire, les automates, les androïdes, les machines pensantes ont toujours suscité le rêve ou la crainte.
Or voici qu'en 1948 un mathématicien de génie en entreprend la théorie. Dans un langage à la fois simple et rigoureux, John von Neumann se situe d'emblée au niveau des plus récentes recherches contemporaines (théorie des automates, théorie de la complexité). Né à budapest en 1903, John von Neumann est à l'origine de la construction du premier ordinateur. Considéré comme l'un des pères fondateurs de l'informatique, il en jette les bases théoriques, qui servent aujourd'hui encore dans nos micro-ordinateurs.
Surtout, il comprend dès 1950 que l'ordinateur n'est pas seulement un calculateur mais aussi une machine capable de travailler sur des informations autres que numériques. Il prévoit qu'une comparaison entre l'homme et la machine peut être fructueuse pour la science. S'intéressant alors à la biologie et plus particulièrement à la neurobiologie, il défend l'idée de réseaux de neurones formels, c'est-à-dire de machines conçues sur le modèle de notre cerveau, trente ans avant que de telles réalisations viennent sur le devant de la scène scientifique et technique.
Par là même, John von Neumann fonde les bases de ce qui deviendra la science des automates. Ce texte constitue donc un moment de l'histoire de la pensée scientifique et technique, en même temps qu'un document d'actualité, par le caractère prémonitoire de la réflexion.
Note de contenu : La pensée et les machines
Le mécanisme algorithmique de John von Neumann
Mathématiques pures, mathématiques appliquées : l'itinéraire de John von Neumann
Du mécanisme rationnel à la raison algorithmique
L'héritage de von Neumann : l'analogie mécanique
Théorie générale et logique des automates
Remarques préliminaires
Discussion de certains caractères sépcifiques des calculateurs
Comparaison des calculateurs et des organismes vivants
La future théorie logique des automates
Principes de la digitalisation
Réseaux de neurones formels
Le concept de complexité : autoreproduction
Théorie générale et logique des automates : le mécanisme algorithmique de John Von Neumann ; Précédé de La pensée et les machines [texte imprimé] / John Von Neumann (1903-1957), Auteur ; Gérard Chazal, Auteur ; Jean-Paul Auffrand, Traducteur . - Seyssel : Champ Vallon, 1996 . - 104 p. : ill., couv. ill. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-87673-232-2 : 98 F
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Index. décimale : SCI sciences Résumé : Entre prouesses mécaniques et mythe littéraire, les automates, les androïdes, les machines pensantes ont toujours suscité le rêve ou la crainte.
Or voici qu'en 1948 un mathématicien de génie en entreprend la théorie. Dans un langage à la fois simple et rigoureux, John von Neumann se situe d'emblée au niveau des plus récentes recherches contemporaines (théorie des automates, théorie de la complexité). Né à budapest en 1903, John von Neumann est à l'origine de la construction du premier ordinateur. Considéré comme l'un des pères fondateurs de l'informatique, il en jette les bases théoriques, qui servent aujourd'hui encore dans nos micro-ordinateurs.
Surtout, il comprend dès 1950 que l'ordinateur n'est pas seulement un calculateur mais aussi une machine capable de travailler sur des informations autres que numériques. Il prévoit qu'une comparaison entre l'homme et la machine peut être fructueuse pour la science. S'intéressant alors à la biologie et plus particulièrement à la neurobiologie, il défend l'idée de réseaux de neurones formels, c'est-à-dire de machines conçues sur le modèle de notre cerveau, trente ans avant que de telles réalisations viennent sur le devant de la scène scientifique et technique.
Par là même, John von Neumann fonde les bases de ce qui deviendra la science des automates. Ce texte constitue donc un moment de l'histoire de la pensée scientifique et technique, en même temps qu'un document d'actualité, par le caractère prémonitoire de la réflexion.
Note de contenu : La pensée et les machines
Le mécanisme algorithmique de John von Neumann
Mathématiques pures, mathématiques appliquées : l'itinéraire de John von Neumann
Du mécanisme rationnel à la raison algorithmique
L'héritage de von Neumann : l'analogie mécanique
Théorie générale et logique des automates
Remarques préliminaires
Discussion de certains caractères sépcifiques des calculateurs
Comparaison des calculateurs et des organismes vivants
La future théorie logique des automates
Principes de la digitalisation
Réseaux de neurones formels
Le concept de complexité : autoreproduction
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