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Titre : Cobra au coeur du XXe siècle Type de document : texte imprimé Auteurs : Edouard Jaguer (1924-2006), Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 1997 Collection : Collection Débats, ISSN 0152-3678 Importance : 201 p. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7186-0483-2 Note générale : Index Langues : Français (fre) Mots-clés : Pierre Alechinsky Corneille Asger Jorn Karel Appel Christian Dotremont Jacques Doucet Mouvement Cobra Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Cobra au coeur du XXe siècle [texte imprimé] / Edouard Jaguer (1924-2006), Auteur . - Paris : Galilée, 1997 . - 201 p. ; 24 cm. - (Collection Débats, ISSN 0152-3678) .
ISBN : 2-7186-0483-2
Index
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pierre Alechinsky Corneille Asger Jorn Karel Appel Christian Dotremont Jacques Doucet Mouvement Cobra Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00210 HIST THE JAG Livre Bibliothèque de l'EESI Histoire et Théorie de l'Art Disponible
Titre de série : Constituer l'Europe, 1 Titre : Constituer l'Europe Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Stiegler (1952-....), Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : impr. 2005 Collection : Collection Débats, ISSN 0152-3678 Importance : 1 vol. (128 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7186-0689-4 Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : La construction et la constitution de l'Europe visent à créer un nouveau processus d'individuation psychique et collective au sein duquel puissent se co-individuer des processus d'individuation déjà existants : les nations européennes.
Parce qu'ont muté, du fait du développement technologique, les conditions générales de l'individuation à travers l'ensemble du monde industrialisé, il y a aujourd'hui à faire converger les processus d'individuation nationaux, en Europe et partout sur la Terre, vers des processus continentaux et supranationaux : la nation n'est plus un cadre autosuffisant pour assurer de bonnes conditions d'individuation à ses habitants.
Mais d'autre part, l'individuation psychique et collective industrielle issue du capitalisme contemporain est devenue autodestructrice. Car elle est rongée par le contre processus d'une ruineuse désublimation, induite par une baisse tendancielle de l'énergie libidinale que détruit sa captation par les médias de masse : c'est le " temps de cerveau disponible " devenu une marchandise comme les autres - ce dont parle M.
Le Lay sans vergogne, exhibant ainsi le règne d'une grande misère symbolique et d'une démotivation généralisée. Le modèle industriel dominant tend en effet à détruire cette vergogne dont les Grecs anciens, qui la nommaient aidôs, posaient qu'elle est, avec la justice (dikè), et comme principe sublime, la condition de toute constitution politique. L'Europe ne se constituera qu'à la condition de lutter contre ce qui, dans la société industrielle, conduit à la désublimation comme liquidation de toute vergogne.
Cette analyse est développée dans le présent ouvrage sur le plan d'une économie politique et par des considérations de politique industrielle : la protection de la vergogne n'est plus une simple question de morale, ou de " valeurs ", mais d'organisation des échanges symboliques, c'est-à-dire d'abord, de nos jours, d'organisation industrielle de la production et de la consommation. La démotivation qui a été engendrée du côté de la production comme de la consommation par la mise en œuvre, au XXe siècle, de techniques de calcul des performances et de recherche des motivations, sera le thème du second tome de cet ouvrage, Le motif européen, qui esquissera les bases d'une nouvelle théorie du motif à partir du concept d'individuation, et comme élément crucial d'une civilisation industrielle réinventée.Note de contenu : Constitution et individuation
La vergogne, condition de toute constitution
La plaie du populisme industriel
L'objet de l'amour et l'amour des objets dans la société hyperindustrielle
Faire la révolution
Constituer l'Europe, 1. Constituer l'Europe [texte imprimé] / Bernard Stiegler (1952-....), Auteur . - Paris : Galilée, impr. 2005 . - 1 vol. (128 p.) ; 22 cm. - (Collection Débats, ISSN 0152-3678) .
ISBN : 2-7186-0689-4
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : La construction et la constitution de l'Europe visent à créer un nouveau processus d'individuation psychique et collective au sein duquel puissent se co-individuer des processus d'individuation déjà existants : les nations européennes.
Parce qu'ont muté, du fait du développement technologique, les conditions générales de l'individuation à travers l'ensemble du monde industrialisé, il y a aujourd'hui à faire converger les processus d'individuation nationaux, en Europe et partout sur la Terre, vers des processus continentaux et supranationaux : la nation n'est plus un cadre autosuffisant pour assurer de bonnes conditions d'individuation à ses habitants.
Mais d'autre part, l'individuation psychique et collective industrielle issue du capitalisme contemporain est devenue autodestructrice. Car elle est rongée par le contre processus d'une ruineuse désublimation, induite par une baisse tendancielle de l'énergie libidinale que détruit sa captation par les médias de masse : c'est le " temps de cerveau disponible " devenu une marchandise comme les autres - ce dont parle M.
Le Lay sans vergogne, exhibant ainsi le règne d'une grande misère symbolique et d'une démotivation généralisée. Le modèle industriel dominant tend en effet à détruire cette vergogne dont les Grecs anciens, qui la nommaient aidôs, posaient qu'elle est, avec la justice (dikè), et comme principe sublime, la condition de toute constitution politique. L'Europe ne se constituera qu'à la condition de lutter contre ce qui, dans la société industrielle, conduit à la désublimation comme liquidation de toute vergogne.
Cette analyse est développée dans le présent ouvrage sur le plan d'une économie politique et par des considérations de politique industrielle : la protection de la vergogne n'est plus une simple question de morale, ou de " valeurs ", mais d'organisation des échanges symboliques, c'est-à-dire d'abord, de nos jours, d'organisation industrielle de la production et de la consommation. La démotivation qui a été engendrée du côté de la production comme de la consommation par la mise en œuvre, au XXe siècle, de techniques de calcul des performances et de recherche des motivations, sera le thème du second tome de cet ouvrage, Le motif européen, qui esquissera les bases d'une nouvelle théorie du motif à partir du concept d'individuation, et comme élément crucial d'une civilisation industrielle réinventée.Note de contenu : Constitution et individuation
La vergogne, condition de toute constitution
La plaie du populisme industriel
L'objet de l'amour et l'amour des objets dans la société hyperindustrielle
Faire la révolution
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01100 ESS Livre Bibliothèque de l'EESI Philosophie Disponible
Titre de série : Constituer l'Europe, 2 Titre : Le motif européen Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Stiegler (1952-....), Auteur ; Jean-Paul Baquiast (1933-....), Collaborateur ; Alain Didier-Weill, Collaborateur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : impr. 2005 Collection : Collection Débats, ISSN 0152-3678 Importance : 1 vol. (155 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7186-0690-8 Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : S'il est vrai que la raison est d'abord un motif, un mobile, le désir qui émeut l'esprit - et pour le mettre en mouvement -, une société qui engendre une démotivation généralisée des producteurs et des consommateurs est profondément irrationnelle.
La démoralisante liquidation de l'aidôs (vergogne) qu'étudiait Constituer l'Europe 1. Dans un monde sans vergogne, résulte d'une idéologie de la performance basée sur le calcul des motivations comme fondement de techniques de management et de marketing, mais qui, calculant l'incalculable, élimine la singularité qui est cependant le seul objet possible de la motivation, et ruine ainsi les processus d'individuation.
Ce sont ces modèles de direction de l'activité industrielle, devenus contre-productifs, qui engendrent la démotivation. Le présent ouvrage esquisse une analyse des techniques managériales de contrôle et de stimulation de la motivation et de la performance qui dominèrent le XXe siècle, et propose des éléments pour une politique industrielle européenne, appuyés sur une autre théorie de la motivation.
Celle-ci en appelle au concept d'individuation pensée comme processus à la fois psychique et collectif, et où l'articulation des deux niveaux s'opère à travers l'organisation des échanges symboliques, eux-mêmes conditionnés par des mnémotechniques aujourd'hui devenues industrielles. Le processus psychosocial est générateur de motifs en fonction des conditions d'organisation des échanges symboliques, et la définition de ces conditions en vue de l'intensification des motivations constitue la question politique en propre.
Or, le devenir technologique des mnémotechniques, qui s'est subitement accéléré et modifié avec la numérisation, signifie qu'une politique n'est possible qu'à élaborer et à mettre en œuvre les critères d'une économie industrielle des mnémotechnologies culturelles et cognitives, qu'il s'agit de transformer ainsi en technologies de l'esprit. Seule une politique industrielle de l'esprit constituera un nouveau motif européen fondé sur une rationalité économique revisitée, réinvestissant une raison européenne qu'il faut concevoir comme une économie du désir que concrétisent les motivations psychiques et collectives propres à l'âge des technologies industrielles de l'esprit.
Soit la constitution européenne sera l'invention d'une nouvelle civilisation industrielle, soit l'Europe politique ne verra jamais le jour.Note de contenu : Construction et destruction
Performance, production, démotivation
Motivation, singularité et individuation
Puissance publique et individuationConstituer l'Europe, 2. Le motif européen [texte imprimé] / Bernard Stiegler (1952-....), Auteur ; Jean-Paul Baquiast (1933-....), Collaborateur ; Alain Didier-Weill, Collaborateur . - Paris : Galilée, impr. 2005 . - 1 vol. (155 p.) ; 22 cm. - (Collection Débats, ISSN 0152-3678) .
ISBN : 2-7186-0690-8
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : S'il est vrai que la raison est d'abord un motif, un mobile, le désir qui émeut l'esprit - et pour le mettre en mouvement -, une société qui engendre une démotivation généralisée des producteurs et des consommateurs est profondément irrationnelle.
La démoralisante liquidation de l'aidôs (vergogne) qu'étudiait Constituer l'Europe 1. Dans un monde sans vergogne, résulte d'une idéologie de la performance basée sur le calcul des motivations comme fondement de techniques de management et de marketing, mais qui, calculant l'incalculable, élimine la singularité qui est cependant le seul objet possible de la motivation, et ruine ainsi les processus d'individuation.
Ce sont ces modèles de direction de l'activité industrielle, devenus contre-productifs, qui engendrent la démotivation. Le présent ouvrage esquisse une analyse des techniques managériales de contrôle et de stimulation de la motivation et de la performance qui dominèrent le XXe siècle, et propose des éléments pour une politique industrielle européenne, appuyés sur une autre théorie de la motivation.
Celle-ci en appelle au concept d'individuation pensée comme processus à la fois psychique et collectif, et où l'articulation des deux niveaux s'opère à travers l'organisation des échanges symboliques, eux-mêmes conditionnés par des mnémotechniques aujourd'hui devenues industrielles. Le processus psychosocial est générateur de motifs en fonction des conditions d'organisation des échanges symboliques, et la définition de ces conditions en vue de l'intensification des motivations constitue la question politique en propre.
Or, le devenir technologique des mnémotechniques, qui s'est subitement accéléré et modifié avec la numérisation, signifie qu'une politique n'est possible qu'à élaborer et à mettre en œuvre les critères d'une économie industrielle des mnémotechnologies culturelles et cognitives, qu'il s'agit de transformer ainsi en technologies de l'esprit. Seule une politique industrielle de l'esprit constituera un nouveau motif européen fondé sur une rationalité économique revisitée, réinvestissant une raison européenne qu'il faut concevoir comme une économie du désir que concrétisent les motivations psychiques et collectives propres à l'âge des technologies industrielles de l'esprit.
Soit la constitution européenne sera l'invention d'une nouvelle civilisation industrielle, soit l'Europe politique ne verra jamais le jour.Note de contenu : Construction et destruction
Performance, production, démotivation
Motivation, singularité et individuation
Puissance publique et individuationRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 01101 ESS STI Livre Bibliothèque de l'EESI Philosophie Disponible
Titre : Échographies de la télévision : entretiens filmés Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Derrida, Auteur ; Bernard Stiegler (1952-....), Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 1996 Collection : Collection Débats, ISSN 0152-3678 Importance : 185 p. Présentation : ill. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7186-0480-8 Note générale : INA = Institut national de l'audiovisuel Langues : Français (fre) Mots-clés : archive mémoire héritages événement Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le chez-soi a toujours été travaillé par l'autre, et par l'hôte, et par la menace de l'expropriation.
Il ne s'est constitué qu'à l'ombre de cette menace. Néanmoins, on assiste aujourd'hui à une expropriation nouvelle, à une déterritorialisation, à une délocalisation, une dissociation si radicales du politique et du local, du national, de l'Etat-national et du local, que la réponse, il faudrait dire la réaction, cela devient : je veux être chez moi, je veux être chez moi, je veux être chez moi enfin, avec les miens, auprès de mes proches.
Cela n'est même pas une réponse d'ailleurs, ce n'est pas une réactivité secondaire qui vient en quelque sorte compenser, réagir après-coup, non, c'est le même mouvement. Il appartient à la constitution du propre et relève de cette loi d'ex-appropriation dont je parlais plus haut : pas d'appropriation sans possibilité d'expropriation, sans la confirmation de cette possibilité. Prenons l'exemple de la télévision.
La télévision introduit dans le chez-moi l'ailleurs, et le mondial, à chaque instant. Je suis plus isolé, plus privatisé que jamais, avec chez moi l'intrusion en permanence, par moi désirée, de l'autre, de l'étranger, du lointain, de l'autre langue. Je la désire et en même temps, je m'enferme avec cet étranger, je veux m'isoler avec lui, sans lui, je veux être chez moi. Le recours au chez-soi, le retour vers le chez-soi est d'autant plus puissant, naturellement, qu'est puissante et violente l'expropriation technologique, la délocalisation.
A partir du moment où la " démocratisation ", ou ce qu'on appelle de ce nom, a fait de tels " progrès ", grâce justement aux technologies dont on parlait tout à l'heure, au point que, les idéologies totalitaires classiques s'étant effondrées, en particulier celles qui étaient représentées par le monde soviétique, l'idéologie néolibérale du marché n'étant plus capable de se mesurer à sa propre puissance, à partir de ce moment-là, le champ est plus libre pour cette forme du retour chez soi qu'on nomme le " petit nationalisme ", le nationalisme des minorités, le nationalisme régional, provincial, l'intégrisme religieux, qui va souvent de pair avec lui et essaie aussi de reconstituer des Etats-nations ; d'où la régression comme mouvement qui accompagne, en vérité suit comme son ombre, se confondant presque avec elle, l'accélération du processus technologique, qui est toujours aussi un processus de délocalisation.Note de contenu : contient: Artefactualités (J.Derrida) - L'image discrète (B.Stiegler) Échographies de la télévision : entretiens filmés [texte imprimé] / Jacques Derrida, Auteur ; Bernard Stiegler (1952-....), Auteur . - Paris : Galilée, 1996 . - 185 p. : ill. ; 24 cm. - (Collection Débats, ISSN 0152-3678) .
ISBN : 2-7186-0480-8
INA = Institut national de l'audiovisuel
Langues : Français (fre)
Mots-clés : archive mémoire héritages événement Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le chez-soi a toujours été travaillé par l'autre, et par l'hôte, et par la menace de l'expropriation.
Il ne s'est constitué qu'à l'ombre de cette menace. Néanmoins, on assiste aujourd'hui à une expropriation nouvelle, à une déterritorialisation, à une délocalisation, une dissociation si radicales du politique et du local, du national, de l'Etat-national et du local, que la réponse, il faudrait dire la réaction, cela devient : je veux être chez moi, je veux être chez moi, je veux être chez moi enfin, avec les miens, auprès de mes proches.
Cela n'est même pas une réponse d'ailleurs, ce n'est pas une réactivité secondaire qui vient en quelque sorte compenser, réagir après-coup, non, c'est le même mouvement. Il appartient à la constitution du propre et relève de cette loi d'ex-appropriation dont je parlais plus haut : pas d'appropriation sans possibilité d'expropriation, sans la confirmation de cette possibilité. Prenons l'exemple de la télévision.
La télévision introduit dans le chez-moi l'ailleurs, et le mondial, à chaque instant. Je suis plus isolé, plus privatisé que jamais, avec chez moi l'intrusion en permanence, par moi désirée, de l'autre, de l'étranger, du lointain, de l'autre langue. Je la désire et en même temps, je m'enferme avec cet étranger, je veux m'isoler avec lui, sans lui, je veux être chez moi. Le recours au chez-soi, le retour vers le chez-soi est d'autant plus puissant, naturellement, qu'est puissante et violente l'expropriation technologique, la délocalisation.
A partir du moment où la " démocratisation ", ou ce qu'on appelle de ce nom, a fait de tels " progrès ", grâce justement aux technologies dont on parlait tout à l'heure, au point que, les idéologies totalitaires classiques s'étant effondrées, en particulier celles qui étaient représentées par le monde soviétique, l'idéologie néolibérale du marché n'étant plus capable de se mesurer à sa propre puissance, à partir de ce moment-là, le champ est plus libre pour cette forme du retour chez soi qu'on nomme le " petit nationalisme ", le nationalisme des minorités, le nationalisme régional, provincial, l'intégrisme religieux, qui va souvent de pair avec lui et essaie aussi de reconstituer des Etats-nations ; d'où la régression comme mouvement qui accompagne, en vérité suit comme son ombre, se confondant presque avec elle, l'accélération du processus technologique, qui est toujours aussi un processus de délocalisation.Note de contenu : contient: Artefactualités (J.Derrida) - L'image discrète (B.Stiegler) Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00867 ESS Livre Bibliothèque de l'EESI Philosophie Disponible
Titre : La folie du voir : une esthétique du virtuel Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Buci-Glucksmann, Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 2002 Collection : Collection Débats, ISSN 0152-3678 Importance : 271 p. Format : 24 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7186-0599-5 Prix : 37 EUR Note générale : Notes bibliogr. Langues : Français (fre) Mots-clés : image-flux baroque modernisme Walter Benjamin Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : Que le virtuel et l'œil technologique mondial constituent aujourd'hui une nouvelle folie du voir, que l'on peut déchiffrer à partir des modèles baroques et modernistes, tel est l'enjeu de ce parcours dans l'immanence du regard.
Entre Icare et Protée, l'artifice devient abstract et artefact, art des surfaces et des enveloppes propres à tous les sexes virtuels et à toutes les topologies fluides de l'art comme de l'architecture. Le baroque rêvait d'un œil qui se voyait lui-même à l'infini, le virtuel l'a accompli. Aussi cet œil-monde est-il inséparable d'une théorie de l'image, l'image flux. Mettant en crise toute mimesis ontologique et tout modèle cristallin, elle ne " voit " pas le temps.
Elle est le temps, dans ses dispositifs, ses effets et ses affects. Ce temps fluide, machinique et éphémère, suscite un travail intersensoriel de l'imagination propre à une esthétique post-duchampienne. Une esthétique des transparences et des fluidités qui est aussi une éthique, voire une politique. Car, dans cet icarisme temporel de tous les trajets, souffle désormais une tempête. Celle de Shakespeare, entre pré- et post-humain.Note de contenu : Walter Benjamin et la raison baroque
La folie du voir. De l'esthétique baroque
Une esthétique du virtuel
La folie du voir : une esthétique du virtuel [texte imprimé] / Christine Buci-Glucksmann, Auteur . - Paris : Galilée, 2002 . - 271 p. ; 24 cm. - (Collection Débats, ISSN 0152-3678) .
ISBN : 2-7186-0599-5 : 37 EUR
Notes bibliogr.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : image-flux baroque modernisme Walter Benjamin Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : Que le virtuel et l'œil technologique mondial constituent aujourd'hui une nouvelle folie du voir, que l'on peut déchiffrer à partir des modèles baroques et modernistes, tel est l'enjeu de ce parcours dans l'immanence du regard.
Entre Icare et Protée, l'artifice devient abstract et artefact, art des surfaces et des enveloppes propres à tous les sexes virtuels et à toutes les topologies fluides de l'art comme de l'architecture. Le baroque rêvait d'un œil qui se voyait lui-même à l'infini, le virtuel l'a accompli. Aussi cet œil-monde est-il inséparable d'une théorie de l'image, l'image flux. Mettant en crise toute mimesis ontologique et tout modèle cristallin, elle ne " voit " pas le temps.
Elle est le temps, dans ses dispositifs, ses effets et ses affects. Ce temps fluide, machinique et éphémère, suscite un travail intersensoriel de l'imagination propre à une esthétique post-duchampienne. Une esthétique des transparences et des fluidités qui est aussi une éthique, voire une politique. Car, dans cet icarisme temporel de tous les trajets, souffle désormais une tempête. Celle de Shakespeare, entre pré- et post-humain.Note de contenu : Walter Benjamin et la raison baroque
La folie du voir. De l'esthétique baroque
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