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Titre : Homo sacer : le pouvoir souverain et la vie nue Type de document : texte imprimé Auteurs : Giorgio Agamben, Auteur Editeur : Paris : Éd. du Seuil Année de publication : cop. 1997 Collection : L'ordre philosophique Importance : 1 vol. (213 p.) Format : 21 cm Prix : 20,30 EUR Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Dans le droit romain archaïque, homo sacer est un homme qu’on peut tuer sans commettre d’homicide, mais qu’on ne peut pas mettre à mort dans les formes rituelles. C’est cette vie insacrifiable et pourtant absolument exposée à la mort qui donne ici la clef d’une relecture de notre tradition politique. En suivant la trace du rapport constitutif entre la vie nue et le pouvoir souverain, d’Aristote à Auschwitz, de l’Habeas corpus aux Déclarations des droits, ce livre cherche à déchiffrer les énigmes - le nazisme et le fascisme en premier lieu – que notre siècle a posées à la raison historique. Lorsque la vie en tant que telle devient l’enjeu de la politique et que celle-ci se transforme en biopolitique, toutes les catégories fondamentales de notre philosophie politique, des Droits de l’homme à la démocratie, de la citoyenneté à la souveraineté populaire, entrent dans un procès d’évidement et de dislocation, dont le résultat est maintenant sous nos yeux. Homo sacer : le pouvoir souverain et la vie nue [texte imprimé] / Giorgio Agamben, Auteur . - Paris : Éd. du Seuil, cop. 1997 . - 1 vol. (213 p.) ; 21 cm. - (L'ordre philosophique) .
20,30 EUR
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Dans le droit romain archaïque, homo sacer est un homme qu’on peut tuer sans commettre d’homicide, mais qu’on ne peut pas mettre à mort dans les formes rituelles. C’est cette vie insacrifiable et pourtant absolument exposée à la mort qui donne ici la clef d’une relecture de notre tradition politique. En suivant la trace du rapport constitutif entre la vie nue et le pouvoir souverain, d’Aristote à Auschwitz, de l’Habeas corpus aux Déclarations des droits, ce livre cherche à déchiffrer les énigmes - le nazisme et le fascisme en premier lieu – que notre siècle a posées à la raison historique. Lorsque la vie en tant que telle devient l’enjeu de la politique et que celle-ci se transforme en biopolitique, toutes les catégories fondamentales de notre philosophie politique, des Droits de l’homme à la démocratie, de la citoyenneté à la souveraineté populaire, entrent dans un procès d’évidement et de dislocation, dont le résultat est maintenant sous nos yeux. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 12328 PHI AGA Livre Bibliothèque de l'EESI Philosophie Disponible
Titre : Adieu à l'esthétique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marie Schaeffer, Auteur Editeur : Paris : Presses universitaires de France Année de publication : 2000 Collection : Les essais du Collège international de philosophie Importance : 74 p. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-13-050098-6 Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Les années quatre-vingt-dix ont vu une renaissance remarquable des réflexions philosophiques consacrées à l'esthétique.
Et d'autant plus étonnante que ces débats ont trouvé, au moins momentanément, un écho public au-delà de la sphère de la philosophie professionnelle, notamment dans ce qu'il est convenu d'appeler " le monde de l'art ". De là à croire à une renaissance de la doctrine esthétique elle-même conçue comme une discipline philosophique fondatrice, il n'y a qu'un pas, que certains philosophes se sont empressés de franchir.
L'objet de cet essai est de montrer le caractère illusoire d'une telle croyance - ou même d'un tel espoir.Adieu à l'esthétique [texte imprimé] / Jean-Marie Schaeffer, Auteur . - Paris : Presses universitaires de France, 2000 . - 74 p. ; 21 cm. - (Les essais du Collège international de philosophie) .
ISBN : 2-13-050098-6
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Les années quatre-vingt-dix ont vu une renaissance remarquable des réflexions philosophiques consacrées à l'esthétique.
Et d'autant plus étonnante que ces débats ont trouvé, au moins momentanément, un écho public au-delà de la sphère de la philosophie professionnelle, notamment dans ce qu'il est convenu d'appeler " le monde de l'art ". De là à croire à une renaissance de la doctrine esthétique elle-même conçue comme une discipline philosophique fondatrice, il n'y a qu'un pas, que certains philosophes se sont empressés de franchir.
L'objet de cet essai est de montrer le caractère illusoire d'une telle croyance - ou même d'un tel espoir.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 00986 PHI SCH Livre Bibliothèque de l'EESI Philosophie Sorti jusqu'au 09/12/2025
Titre : Les affects de la politique Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Lordon (1962-....), Auteur Importance : 1 vol. (194 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7578-7049-5 Prix : 7,80 EUR Note générale : Bibliogr., 3 p. Langues : Français (fre) Mots-clés : politique philosophie activisme médias Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Que la politique soit en proie aux « passions », tout le monde l’accordera sans la moindre difficulté. Autrement malaisé serait de faire entendre qu’elle ne connaît que cela, que les affects sont son étoffe même. La politique n’est-elle pas aussi affaire d’idées et d’arguments, protestera-t-on, et les « passions » ne sont-elles pas finalement que distorsion de cet idéal d’une politique discursive rationnelle ?
Le point de vue spinoziste bouscule ces fausses évidences, en soustrayant la catégorie d’« affect » à ses usages de sens commun – les « émotions » – pour en faire le concept le plus général de l’effet que les hommes produisent les uns sur les autres : ils s’affectent mutuellement. Il n’y a alors plus aucune antinomie entre les « idées » et les affects. On émet bien des idées pour faire quelque chose à quelqu’un – pour l’affecter. Et, réciproquement, les idées, spécialement les idées politiques, ne nous font quelque chose que si elles sont accompagnées d’affects. Autrement, elles nous laissent indifférents. En « temps ordinaires » comme dans les moments de soulèvement, la politique, idées comprises, est alors un grand jeu d’affects collectifs. Et pour tous ceux qui y interviennent, elle est un ars affectandi.Les affects de la politique [texte imprimé] / Frédéric Lordon (1962-....), Auteur . - [s.d.] . - 1 vol. (194 p.) : couv. ill. en coul. ; 18 cm.
ISBN : 978-2-7578-7049-5 : 7,80 EUR
Bibliogr., 3 p.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : politique philosophie activisme médias Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Que la politique soit en proie aux « passions », tout le monde l’accordera sans la moindre difficulté. Autrement malaisé serait de faire entendre qu’elle ne connaît que cela, que les affects sont son étoffe même. La politique n’est-elle pas aussi affaire d’idées et d’arguments, protestera-t-on, et les « passions » ne sont-elles pas finalement que distorsion de cet idéal d’une politique discursive rationnelle ?
Le point de vue spinoziste bouscule ces fausses évidences, en soustrayant la catégorie d’« affect » à ses usages de sens commun – les « émotions » – pour en faire le concept le plus général de l’effet que les hommes produisent les uns sur les autres : ils s’affectent mutuellement. Il n’y a alors plus aucune antinomie entre les « idées » et les affects. On émet bien des idées pour faire quelque chose à quelqu’un – pour l’affecter. Et, réciproquement, les idées, spécialement les idées politiques, ne nous font quelque chose que si elles sont accompagnées d’affects. Autrement, elles nous laissent indifférents. En « temps ordinaires » comme dans les moments de soulèvement, la politique, idées comprises, est alors un grand jeu d’affects collectifs. Et pour tous ceux qui y interviennent, elle est un ars affectandi.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 11134 ESS LOR Livre Bibliothèque de l'EESI Philosophie Disponible
Titre : Afrodystopie : la vie dans le rêve d'autrui Type de document : texte imprimé Auteurs : Joseph Tonda, Auteur Editeur : Paris : Editions Karthala Année de publication : 2021 Collection : Les Afriques (Dakar), ISSN 0850-8283 Importance : 1 vol. (268 p.) Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-8111-2858-6 Prix : 25 EUR Note générale : Bibliogr. p. 255-264 Langues : Français (fre) Mots-clés : colonialisme Afrique Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le continent noir n'existe pas. Il est une Afrodystopie créée par le rêve d'Autrui. Du rêve colonial du premier président gabonais, Léon Mba, de faire de son pays un département français, au mea culpa postcolonial de son successeur, Omar Bongo Ondimba, en passant par l'utopie mobutiste de l'« authenticité » ; du blockbuster Black Panther, institué en paradigme afrofuturiste de la puissance africaine, à la régulation de la vie sociale et politique africaine par la Mort, cet essai met au jour le paradigme de la vie humaine entrée dans le rêve des abstractions et des choses, celles de l'Argent, de la Marchandise, de l'État, du Corps-sexe, de la Jouissance, devenues dans le monde capitaliste des « puissances mystiques » qui agissent comme des dispositifs d'éblouissement des imaginaires sociaux africains. Dépassant les critiques classiques de l'impérialisme et du néocolonialisme, les théories de la dépendance et les études postcoloniales, cet ouvrage analyse ce rêve afrodystopique dans lequel sont plongées les sociétés africaines et afrodescendantes. À la différence des dystopies littéraires, cette chimère n'est pas une projection dans le futur, mais une composante bien réelle de la violence des imaginaires colonialistes et impérialistes qui structure l'inconscient des rapports de l'Occident aux mondes africains, mais aussi les rapports des États africains à leurs propres citoyens. Avec le concept d'Afrodystopie, Joseph Tonda propose une nouvelle manière de penser les relations entre dominants et dominés à l'ère du capitalisme globalisé. Afrodystopie : la vie dans le rêve d'autrui [texte imprimé] / Joseph Tonda, Auteur . - Paris : Editions Karthala, 2021 . - 1 vol. (268 p.) ; 22 cm. - (Les Afriques (Dakar), ISSN 0850-8283) .
ISBN : 978-2-8111-2858-6 : 25 EUR
Bibliogr. p. 255-264
Langues : Français (fre)
Mots-clés : colonialisme Afrique Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : Le continent noir n'existe pas. Il est une Afrodystopie créée par le rêve d'Autrui. Du rêve colonial du premier président gabonais, Léon Mba, de faire de son pays un département français, au mea culpa postcolonial de son successeur, Omar Bongo Ondimba, en passant par l'utopie mobutiste de l'« authenticité » ; du blockbuster Black Panther, institué en paradigme afrofuturiste de la puissance africaine, à la régulation de la vie sociale et politique africaine par la Mort, cet essai met au jour le paradigme de la vie humaine entrée dans le rêve des abstractions et des choses, celles de l'Argent, de la Marchandise, de l'État, du Corps-sexe, de la Jouissance, devenues dans le monde capitaliste des « puissances mystiques » qui agissent comme des dispositifs d'éblouissement des imaginaires sociaux africains. Dépassant les critiques classiques de l'impérialisme et du néocolonialisme, les théories de la dépendance et les études postcoloniales, cet ouvrage analyse ce rêve afrodystopique dans lequel sont plongées les sociétés africaines et afrodescendantes. À la différence des dystopies littéraires, cette chimère n'est pas une projection dans le futur, mais une composante bien réelle de la violence des imaginaires colonialistes et impérialistes qui structure l'inconscient des rapports de l'Occident aux mondes africains, mais aussi les rapports des États africains à leurs propres citoyens. Avec le concept d'Afrodystopie, Joseph Tonda propose une nouvelle manière de penser les relations entre dominants et dominés à l'ère du capitalisme globalisé. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13104 ESS TON Livre Bibliothèque de l'EESI Philosophie Sorti jusqu'au 02/10/2023
Titre : Aimer, s'aimer, nous aimer : du 11 septembre au 21 avril Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Stiegler (1952-....), Auteur Editeur : Paris : Galilée Année de publication : 2003 Collection : Incises, ISSN 1242-8434 Importance : 89 p. Format : 22 cm ISBN/ISSN/EAN : 2-7186-0629-0 Note générale : Ce livre reprend et développe le texte d'une communication prononcée à Cerisy-la-Salle, en ouverture du colloque (à paraître aux Éd. de l'Aube) "Des je et des nous. Agir ensemble dans la cité. Prospective IV", le 9 juin 2002 Langues : Français (fre) Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : La violence et l'insécurité dans lesquelles nous vivons - aussi exploitées qu'elles puissent être fantasmatiquement, voire manipulées de manière délibérée - relèvent avant tout d'une question de narcissisme, et sont le fait d'un processus de perte d'individuation.
Il s'agit de narcissisme au sens où un homme comme Richard Durn, assassin d'un nous - assassiner un conseil municipal, représentation officielle d'un nous, c'est assassiner un nous - souffrait terriblement de ne pas exister, de ne pas avoir, disait-il, le " sentiment d'exister " : lorsqu'il tentait de se voir dans une glace, il n rencontrait qu'un immense néant. C'est ce qu'a révélé la publication d son journal intime par Le Monde.
Durn y affirme qu'il a besoin de " faire du mal pour, au moins une fois dans [sa] vie, avoir le sentiment d'exister ". Richard Durn souffre d'une privation structurelle de ses capacités narcissiques primordiales. J'appelle " narcissisme primordial " cette structure de la psychè qui est indispensable à son fonctionnement, cette part d'amour de soi qui peut devenir parfois pathologique, mais sans laquelle aucune capacité d'amour quelle qu'elle soit ne serait possible.
Freud parle de narcissisme primaire, mais cette expression ne correspond pas tout à fait à ce dont je parle : elle désigne l'amour de soi infantile, une époque précoce de la sexualité. Freud parle aussi de narcissisme secondaire, ce qui survient à l'âge adulte, mais il ne s'agit encore pas de ce que je nomme le narcissisme primordial, qui est sans doute plus proche de ce que Lacan désigne dans son analyse du " stade du miroir ". Il y a un narcissisme primordial aussi bien du je que du nous : pour que le narcissisme de mon je puisse fonctionner, il faut qu'il puisse se projeter dans le narcissisme d'un nous.
Richard Durn, n'arrivant pas à élaborer son narcissisme, voyait dans le conseil municipal la réalité d'une altérité qui le faisait souffrir, qui ne lui renvoyait aucune image, et il l'a massacrée.Aimer, s'aimer, nous aimer : du 11 septembre au 21 avril [texte imprimé] / Bernard Stiegler (1952-....), Auteur . - Paris : Galilée, 2003 . - 89 p. ; 22 cm. - (Incises, ISSN 1242-8434) .
ISBN : 2-7186-0629-0
Ce livre reprend et développe le texte d'une communication prononcée à Cerisy-la-Salle, en ouverture du colloque (à paraître aux Éd. de l'Aube) "Des je et des nous. Agir ensemble dans la cité. Prospective IV", le 9 juin 2002
Langues : Français (fre)
Index. décimale : PHI Philosophie Résumé : La violence et l'insécurité dans lesquelles nous vivons - aussi exploitées qu'elles puissent être fantasmatiquement, voire manipulées de manière délibérée - relèvent avant tout d'une question de narcissisme, et sont le fait d'un processus de perte d'individuation.
Il s'agit de narcissisme au sens où un homme comme Richard Durn, assassin d'un nous - assassiner un conseil municipal, représentation officielle d'un nous, c'est assassiner un nous - souffrait terriblement de ne pas exister, de ne pas avoir, disait-il, le " sentiment d'exister " : lorsqu'il tentait de se voir dans une glace, il n rencontrait qu'un immense néant. C'est ce qu'a révélé la publication d son journal intime par Le Monde.
Durn y affirme qu'il a besoin de " faire du mal pour, au moins une fois dans [sa] vie, avoir le sentiment d'exister ". Richard Durn souffre d'une privation structurelle de ses capacités narcissiques primordiales. J'appelle " narcissisme primordial " cette structure de la psychè qui est indispensable à son fonctionnement, cette part d'amour de soi qui peut devenir parfois pathologique, mais sans laquelle aucune capacité d'amour quelle qu'elle soit ne serait possible.
Freud parle de narcissisme primaire, mais cette expression ne correspond pas tout à fait à ce dont je parle : elle désigne l'amour de soi infantile, une époque précoce de la sexualité. Freud parle aussi de narcissisme secondaire, ce qui survient à l'âge adulte, mais il ne s'agit encore pas de ce que je nomme le narcissisme primordial, qui est sans doute plus proche de ce que Lacan désigne dans son analyse du " stade du miroir ". Il y a un narcissisme primordial aussi bien du je que du nous : pour que le narcissisme de mon je puisse fonctionner, il faut qu'il puisse se projeter dans le narcissisme d'un nous.
Richard Durn, n'arrivant pas à élaborer son narcissisme, voyait dans le conseil municipal la réalité d'une altérité qui le faisait souffrir, qui ne lui renvoyait aucune image, et il l'a massacrée.Réservation
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