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Titre : Faire, faire faire, ne pas faire : entretiens sur la production de l'art contemporain Type de document : texte imprimé Auteurs : Ileana Parvu, Directeur de publication ; Jean-Marie Bolay, Directeur de publication ; Bénédicte le Pimpec, Directeur de publication ; Valérie Mavridorakis, Directeur de publication ; Jean-Marie Bolay, Traducteur Editeur : Genève : HEAD Année de publication : 2021 Importance : 1 vol. (359 p.) Présentation : ill. en noir et en coul, fac-sim Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-940510-44-3 Prix : 25 EUR Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Anglais (eng) Index. décimale : ECRA Ecrits d'artistes Résumé : Ce livre examine les modes d'exécution de l'art contemporain depuis le point de vue de la production, au moyen d'une série de dix-huit entretiens. Il déroule une réflexion plurielle et polyphonique, en réunissant les propos de divers acteurs et actrices de la réalisation des œuvres et de plusieurs générations d'artistes.
En a-t-on vraiment fini avec la main dès lors qu'elle n'est pas au travail ? À l'opposé de ce que déclaraient différents artistes des années 1960, ne peut-on pas considérer qu'en dehors des processus d'exécution, elle est à même de mettre en forme ce qu'ils dénommaient « la conception » de l'œuvre ? N'y a-t-il pas lieu de s'interroger sur les fonctions qu'elle assume paradoxalement dans des pratiques de délégation ou dans des gestes qui ne requièrent pas a priori des compétences manuelles spécifiques ? L'artiste qui au contraire ne confie pas à d'autres la réalisation de ses pièces, est-il/elle forcément seul.e à faire œuvre ? Qu'en est-il des matériaux, des procédés, des outils ? Et comment est-il possible d'user du faire artistique pour penser les problèmes qui se posent dans le monde du travail ?
Telles sont les questions qui, dans ce livre, sont examinées depuis le point de vue de la production, au moyen d'une série de dix-huit entretiens. Faire, faire faire, ne pas faire déroule une réflexion plurielle et polyphonique, en réunissant les propos de divers acteurs et actrices de la réalisation des œuvres et de plusieurs générations d'artistes : John M Armleder, Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier, Christian Bernard, Gabriele Di Matteo, Sylvie Eyberg, Christian Gonzenbach, Wade Guyton, Fransje Killaars et Roy Villevoye, Stéphane Kropf, Pierre Leguillon, Anita Molinero, Émilie Parendeau, Claude Rutault, Zoë Sheehan Saldaña, Wim Starkenburg, Joëlle Tuerlinckx et Remi Verstraete.
Faire, faire faire, ne pas faire : entretiens sur la production de l'art contemporain [texte imprimé] / Ileana Parvu, Directeur de publication ; Jean-Marie Bolay, Directeur de publication ; Bénédicte le Pimpec, Directeur de publication ; Valérie Mavridorakis, Directeur de publication ; Jean-Marie Bolay, Traducteur . - Genève : HEAD, 2021 . - 1 vol. (359 p.) : ill. en noir et en coul, fac-sim ; 21 cm.
ISBN : 978-2-940510-44-3 : 25 EUR
Langues : Français (fre) Langues originales : Français (fre) Anglais (eng)
Index. décimale : ECRA Ecrits d'artistes Résumé : Ce livre examine les modes d'exécution de l'art contemporain depuis le point de vue de la production, au moyen d'une série de dix-huit entretiens. Il déroule une réflexion plurielle et polyphonique, en réunissant les propos de divers acteurs et actrices de la réalisation des œuvres et de plusieurs générations d'artistes.
En a-t-on vraiment fini avec la main dès lors qu'elle n'est pas au travail ? À l'opposé de ce que déclaraient différents artistes des années 1960, ne peut-on pas considérer qu'en dehors des processus d'exécution, elle est à même de mettre en forme ce qu'ils dénommaient « la conception » de l'œuvre ? N'y a-t-il pas lieu de s'interroger sur les fonctions qu'elle assume paradoxalement dans des pratiques de délégation ou dans des gestes qui ne requièrent pas a priori des compétences manuelles spécifiques ? L'artiste qui au contraire ne confie pas à d'autres la réalisation de ses pièces, est-il/elle forcément seul.e à faire œuvre ? Qu'en est-il des matériaux, des procédés, des outils ? Et comment est-il possible d'user du faire artistique pour penser les problèmes qui se posent dans le monde du travail ?
Telles sont les questions qui, dans ce livre, sont examinées depuis le point de vue de la production, au moyen d'une série de dix-huit entretiens. Faire, faire faire, ne pas faire déroule une réflexion plurielle et polyphonique, en réunissant les propos de divers acteurs et actrices de la réalisation des œuvres et de plusieurs générations d'artistes : John M Armleder, Pierre-Olivier Arnaud et Julie Portier, Christian Bernard, Gabriele Di Matteo, Sylvie Eyberg, Christian Gonzenbach, Wade Guyton, Fransje Killaars et Roy Villevoye, Stéphane Kropf, Pierre Leguillon, Anita Molinero, Émilie Parendeau, Claude Rutault, Zoë Sheehan Saldaña, Wim Starkenburg, Joëlle Tuerlinckx et Remi Verstraete.
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Titre : Motifs incertains : enseigner et apprendre les pratiques artistiques socialement engagées Titre original : = uncertain patterns : teaching and learning socially engaged art Type de document : texte imprimé Auteurs : microsillons, Directeur de publication Editeur : Genève : HEAD Année de publication : 2019 Importance : 1 vol. (415 p.) Présentation : ill., couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-940510-35-1 Prix : 25 EUR, 30 CHF Langues : Français (fre) Anglais (eng) Mots-clés : enseignement de l'art pédagogie collaboration Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : Depuis le début des années 1990, les pratiques artistiques participatives et collaboratives se sont multipliées. Aujourd'hui, elles constituent un champ autonome et sont regroupées sous des termes comme « pratiques artistiques socialement engagées », « community-based art » ou « art dialogique ». L'historienne de l'art Claire Bishop parle de « social turn » pour décrire cette évolution. Ces pratiques, comme le note Gregory Sholette, passent actuellement des marges du monde de l'art vers son centre et acquièrent une légitimité institutionnelle nouvelle, parfois dans une forme de contradiction avec leurs racines activistes.
Avec cette institutionnalisation se développent, pour le moment principalement en Europe et aux Etats-Unis, des programmes d'études qui enseignent l'art socialement engagé. De par la nature dialogique, de ces pratiques, nombre des artistes qui les développent et des théoricien·ne·s qui s'y intéressent ont développé un intérêt pour des approches critiques de la pédagogie. Grant Kester, historien de l'art qui a forgé le terme de « dialogical art », va jusqu'à dresser un parallèle entre la nature même de l'art socialement engagé et l'approche pédagogique de Paulo Freire, fondatrice pour les pédagogies critiques : très souvent, ces pratiques remettent en cause la distinction entre artiste et public, transformant les regardeurs en co-participants. Ils remplacent le style traditionnel bancaire (pour emprunter une image à Paulo Freire) de l'art, dans lequel l'artiste « dépose » son contenu expressive dans un contenant physique qui sera ensuite « retiré » par un regardeur passif, par un processus d'échange dialogique et une interaction collaborative.
Lorsqu'ils sont impliqués dans des programmes d'étude, ces acteurs vont donc logiquement amener leurs conceptions alternatives de la pédagogie au niveau de leur propre enseignement. Ainsi, l'on peut observer dans les programmes qui enseignent les pratiques artistiques socialement engagées des démarches dialogiques expérimentales tant au niveau des contenus qu'elles abordent que dans les formes d'échange et de production de savoirs qu'elles permettent. Dans ces approches, l'ouverture à l'incertitude est fondamentale car elle est gage de la prise au sérieux de l'échange. Les motifs, dans leurs formes comme dans leur répétition, deviennent alors incertains.
Cette publication – réalisée à l'initiative du Master TRANS– de la HEAD Genève – regroupe des textes rédigés par les responsables (et les étudiant·e·s) de cinq programmes d'études construits autour des les pratiques artistiques socialement engagées (MA Socially Engaged Art (National College of Art and Design, Dublin) / Art & Social Practice (Portland State University) / PEI (MACBA, Barcelona) / Institute für Kunst im Kontext (Universität der Künste, Berlin) / Master TRANS– (HEAD – Genève)). Elle contient également les traductions de deux textes fondamentaux (l'un de Pablo Helguera, auteur de Education for Socially Engaged Art et l'autre de Gregory Sholette, co-éditeur de Art as Social Action).Note de contenu : Avec des textes de
Harrell Fletcher, Michael Brown, Spencer Byrne-Seres, Anke Schüttler, Roshani Thakore, Xi Jie Ng (Salty), J Barclay, Justin Fincannon, Ben Hall, Larry Loftin, Joey Lucero, Philip Odom, Guy Snook, Ben Turanksi, Michael Bernard Stevenson Jr., Claudia Hummel, Kristina Leko, Julia Herfurth, Natalie Obert, Pablo Martínez, Lucía Egaña Rojas, Benzo, Julieta Obiols, Javiera Pizarro, Diego Posada, Microsillons, Fiona Whelan, Pablo Helguera, Gregory SholetteMotifs incertains = = uncertain patterns : teaching and learning socially engaged art : enseigner et apprendre les pratiques artistiques socialement engagées [texte imprimé] / microsillons, Directeur de publication . - Genève : HEAD, 2019 . - 1 vol. (415 p.) : ill., couv. ill. en coul. ; 21 cm.
ISBN : 978-2-940510-35-1 : 25 EUR, 30 CHF
Langues : Français (fre) Anglais (eng)
Mots-clés : enseignement de l'art pédagogie collaboration Index. décimale : HIST THE Histoire et théorie de l'art Résumé : Depuis le début des années 1990, les pratiques artistiques participatives et collaboratives se sont multipliées. Aujourd'hui, elles constituent un champ autonome et sont regroupées sous des termes comme « pratiques artistiques socialement engagées », « community-based art » ou « art dialogique ». L'historienne de l'art Claire Bishop parle de « social turn » pour décrire cette évolution. Ces pratiques, comme le note Gregory Sholette, passent actuellement des marges du monde de l'art vers son centre et acquièrent une légitimité institutionnelle nouvelle, parfois dans une forme de contradiction avec leurs racines activistes.
Avec cette institutionnalisation se développent, pour le moment principalement en Europe et aux Etats-Unis, des programmes d'études qui enseignent l'art socialement engagé. De par la nature dialogique, de ces pratiques, nombre des artistes qui les développent et des théoricien·ne·s qui s'y intéressent ont développé un intérêt pour des approches critiques de la pédagogie. Grant Kester, historien de l'art qui a forgé le terme de « dialogical art », va jusqu'à dresser un parallèle entre la nature même de l'art socialement engagé et l'approche pédagogique de Paulo Freire, fondatrice pour les pédagogies critiques : très souvent, ces pratiques remettent en cause la distinction entre artiste et public, transformant les regardeurs en co-participants. Ils remplacent le style traditionnel bancaire (pour emprunter une image à Paulo Freire) de l'art, dans lequel l'artiste « dépose » son contenu expressive dans un contenant physique qui sera ensuite « retiré » par un regardeur passif, par un processus d'échange dialogique et une interaction collaborative.
Lorsqu'ils sont impliqués dans des programmes d'étude, ces acteurs vont donc logiquement amener leurs conceptions alternatives de la pédagogie au niveau de leur propre enseignement. Ainsi, l'on peut observer dans les programmes qui enseignent les pratiques artistiques socialement engagées des démarches dialogiques expérimentales tant au niveau des contenus qu'elles abordent que dans les formes d'échange et de production de savoirs qu'elles permettent. Dans ces approches, l'ouverture à l'incertitude est fondamentale car elle est gage de la prise au sérieux de l'échange. Les motifs, dans leurs formes comme dans leur répétition, deviennent alors incertains.
Cette publication – réalisée à l'initiative du Master TRANS– de la HEAD Genève – regroupe des textes rédigés par les responsables (et les étudiant·e·s) de cinq programmes d'études construits autour des les pratiques artistiques socialement engagées (MA Socially Engaged Art (National College of Art and Design, Dublin) / Art & Social Practice (Portland State University) / PEI (MACBA, Barcelona) / Institute für Kunst im Kontext (Universität der Künste, Berlin) / Master TRANS– (HEAD – Genève)). Elle contient également les traductions de deux textes fondamentaux (l'un de Pablo Helguera, auteur de Education for Socially Engaged Art et l'autre de Gregory Sholette, co-éditeur de Art as Social Action).Note de contenu : Avec des textes de
Harrell Fletcher, Michael Brown, Spencer Byrne-Seres, Anke Schüttler, Roshani Thakore, Xi Jie Ng (Salty), J Barclay, Justin Fincannon, Ben Hall, Larry Loftin, Joey Lucero, Philip Odom, Guy Snook, Ben Turanksi, Michael Bernard Stevenson Jr., Claudia Hummel, Kristina Leko, Julia Herfurth, Natalie Obert, Pablo Martínez, Lucía Egaña Rojas, Benzo, Julieta Obiols, Javiera Pizarro, Diego Posada, Microsillons, Fiona Whelan, Pablo Helguera, Gregory SholetteRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13252 HIST THE MIC Livre Bibliothèque de l'EESI Histoire et Théorie de l'Art Disponible


