| Titre : |
L'Écume des jours : suivi de "Un langage -univers" par Jacque Bens |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Boris Vian, Auteur ; Jacques Bens, Auteur de la postface, du colophon, etc. |
| Editeur : |
Paris : Union générale d'éditions |
| Année de publication : |
1979 |
| Collection : |
10-18 num. 115 |
| Importance : |
190 p |
| Format : |
18 cm |
| ISBN/ISSN/EAN : |
2-264-00932-2 |
| Note générale : |
bibliogr. |
| Langues : |
Français (fre) |
| Index. décimale : |
LITT Littérature |
| Résumé : |
Un titre léger et lumineux qui annonce une histoire d'amour drôle ou grinçante, tendre ou grave, fascinante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans.
C'est un conte de l'époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, féerique et déchirant. Dans cette œuvre d'une modernité insolente, livre culte depuis plus de cinquante ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, la mort prend la forme d'un nénuphar, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoir. Seuls deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l'amour absolu et la musique des Noirs américains... |
L'Écume des jours : suivi de "Un langage -univers" par Jacque Bens [texte imprimé] / Boris Vian, Auteur ; Jacques Bens, Auteur de la postface, du colophon, etc. . - Paris : Union générale d'éditions, 1979 . - 190 p ; 18 cm. - ( 10-18; 115) . ISBN : 2-264-00932-2 bibliogr. Langues : Français ( fre)
| Index. décimale : |
LITT Littérature |
| Résumé : |
Un titre léger et lumineux qui annonce une histoire d'amour drôle ou grinçante, tendre ou grave, fascinante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans.
C'est un conte de l'époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, féerique et déchirant. Dans cette œuvre d'une modernité insolente, livre culte depuis plus de cinquante ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, la mort prend la forme d'un nénuphar, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoir. Seuls deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l'amour absolu et la musique des Noirs américains... |
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